Dans le remake, chaque membre de la famille est un personnage totalement en marge de la société et complètement à l'opposé d'un « gars de la ville »[5]. Comme dans la version originale, cela peut être dû à la fermeture de l'abattoir qui a commencé à les faire dépérir ou alors à la façon dont la société a tourmenté et persécuté Thomas[83]. Il n'y a pas la moindre raison de le voir[54]. Massacre à la tronçonneuse est aussi le chef de file du survival, sous-genre du cinéma d'épouvante, dont Délivrance, de John Boorman, pose les bases dès 1972. Les repérages sont réalisés par Richard Klotz qui déniche et filme tous les extérieurs en une semaine[5]. Et le comble, c'est qu'on ne voit jamais vraiment de massacres, ils sont suggérés ou filmés de façon à ne pas apparaître de face à l'écran. David Tuckerman, directeur de la distribution chez New Line Cinema, déclare à Hollywood Reporter : « Dire qu'il a dépassé les attentes est un euphémisme. Selon Marcus Nispel, cette expérience est l'une des meilleures qu'il ait pu voir à l'époque[5]. Également, lorsque Eric Balfour termine le tournage de sa toute dernière scène, l'acteur se déshabille totalement et quitte les lieux avec seulement une casquette sur la tête avec les applaudissements du reste de l'équipe[5],[22]. Dans le film, lorsque Erin s'engage dans une course poursuite avec Thomas après le meurtre de Pepper, elle court en direction d'une caravane dans les bois pour trouver de l'aide[82]. L'idée d'un remake du film Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper est tièdement accueillie par l'opinion publique, les fans de la franchise, en particulier du film original, ne voyant pas l'intérêt de faire le remake d'un film aussi culte que celui-ci et aux fans si nombreux[5]. Cependant, la famille « idéale » se dégrade au point de commettre des meurtres et de ne plus prendre soin les uns des autres[83]. Une nouvelle fois typique de ce genre de film, Massacre à la tronçonneuse nous démontre comment ce mode de vie idéal est simplement fictif et n'a jamais vraiment existé[82]. Fort de l'expérience technique du cinéma de guérilla, le tournage de Massacre à la tronçonneuse n'est pour Bay que réalisable, étant habitué à travailler avec peu de moyens[5]. Erin décide de repartir pour la maison de Monty accompagnée d'Andy. Lors de sa venue sur le plateau, l'équipe veille à ne pas montrer de scripts ni Leatherface[5]. Erin parvient à s'échapper mais Thomas coupe la jambe d'Andy lorsqu'il s'échappe par le jardin[4]. » et reproche au film son ton sépia qui enlève tout semblant de réalisme à l'atmosphère du film, ainsi que le choix de la production de montrer le visage du tueur. Massacre à la tronçonneuse : La Nouvelle Génération de Kim Henkel (1994) Massacre à la tronçonneuse de Marcus Nispel (2003) (remake) Massacre à la tronçonneuse : Le Commencement de Jonathan Liebesman (2006) (préquelle au remake) Texas Chainsaw … Quelques instants plus tard, Erin se rend compte que le bébé a en fait été enlevé et n'est pas celui d'Henrietta[81]. Massacre à la tronçonneuse - le livre fera sa première mondiale ce samedi (le 12) de 15h à 18H à Metaluna store en présence de Julien Seveon - Cinéma . En chemin, ils s'arrêtent à une station service ou ils demandent de l'aide à la vieille dame qui tient la boutique. Nispel rappelle malgré tout Tucker lui proposant de se faire un relooking : il laisse pousser sa barbe pour paraître plus âgé et porte une paire de lunettes de vue comme celles que porte Richard Dreyfuss dans Les Dents de la mer[5]. Au moment où Henrietta décroche et répond « elle est ici », Erin comprend que le bébé qu'elle tient dans ses bras a été enlevé et appartient en réalité à la famille de l'auto-stoppeuse qu'elle et ses amis ont tenté d'aider au début du film lorsqu'elle découvre une photo de la jeune femme et du bébé réunis[4]. L'acteur reste pendu pendant 5 heures[5]. Pour les besoins du personnage, l'acteur est transformé : plusieurs détails comme de la fausse saleté sont rajoutés dans ses cheveux ainsi que sur le reste de son corps tandis que l'acteur porte des fausses dents[5]. Marcus Nispel à toujours voulu réaliser son premier film avec New Line[5]. Toujours au 15 novembre 2020, Massacre à la tronçonneuse affiche une note de 6,2 sur 10, basée sur 129 242 critiques des internautes, sur le site IMDB[50]. Lorsque Brad Fuller parle de sa compagnie à Mike Fleiss, ce dernier a l'idée d'aller en parler à Hooper et Henkel pour voir ce qu'ils en pensent. La véritable histoire de massacre à la tronçonneuse. Le film est confronté à la commission de la censure, plus indulgente avec des films montrant une violence historique plutôt qu'un film d'horreur où la violence est montrée pour divertir[5]. Quand au personnage de Leatherface, Kosar décide d'étendre l'histoire du personnage et de le décrire comme un petit garçon traumatisé dans son enfance par ses camarades de classe à l'école à cause de tumeurs qu'il à développé au cours de ses premières années. Le budget véritable fourni est alors de 3 millions de dollars[5],[16]. En analysant le film original, Nispel comprend qu'il est important de faire un remake différent du premier film[5]. Les actes pervers de cet esprit dérangé révèlent à cette société bon enfant le démon qu’elle porte en son sein. Dans la version finale, la tronçonneuse la tue hors-champ ; nous laissant voir Leatherface se jeter sur elle avec sa tronçonneuse et le bruit de celle-ci la tuant[25]. Pour le rôle de Luda Mae, la mère de Thomas Hewitt / Leatherface, la production engage Marietta Marich qui est « fantastique » selon Marcus Nispel[5]. Lorsque le maquilleur lui dévoile une représentation en 3D, Marcus Nispel adhère[5]. Stoddard attache la tête de ce dernier pour qu'une fois que la caméra soit sortie du trou, la tête puisse retomber[5]. L'annonce publique de l'arrivée à la réalisation de Marcus Nispel est faite par Variety le 19 juin 2002[15]. Plusieurs enfants se moquent de lui durant son enfance, des enfants que l'on peut présumer morts lors des événements du film[81]. ». pour en faire un... produit qui ne fait même pas peur ! Retour sur l'histoire d'un film pas comme les autres. Elle ne doit son salut qu'à Morgan lorsque ce dernier intervient et attaque Leatherface, ce dernier laissant tomber sa tronçonneuse. Bien que Andrew Form félicite les talents d'acteurs de ce dernier, le physique de l'acteur ne colle pas avec le personnage selon Nispel. Une forme robuste s'attaque ensuite au second officier de police qui hurle[4]. Après avoir nargué Morgan une énième fois, lui révélant qu'il porte un dentier et donc qu'il lui manque des dents (un détail en commun avec le jeune homme dorénavant selon lui), le shérif passe un appel radio demandant à une personne inconnue de passer par le moulin Crawford, deux jeunes femmes l'attendant là-bas[3]. Il met en scène Jessica Biel dans le rôle d'Erin et R. Lee Ermey dans le rôle du shérif Hoyt tandis qu'Andrew Bryniarski joue le rôle de Thomas Hewitt, alias Leatherface. Cette information est ensuite très rapidement démentie par la production[15]. Biel interprète le rôle d'Erin, une femme forte et intelligente, un personnage capable d'attirer la sympathie du public féminin qui aime voir des femmes battantes et des héroïnes intelligentes auxquelles elle peuvent s'identifier[5]. Datant de 1977, mais réalisé en 1974, et ayant été interdit en salles françaises deux ans durant, Massacre à la Tronçonneuse est LE classique du genre. Dave Kehr pour le New York Times donne également une mauvaise critique pour le film, lui donnant une note de 1 sur 5 accompagné des phrases suivantes : « plutôt qu'exaltation, ce film bilieux n'offre que piégeage et désespoir. » Selon Jérémie Couston, de Télérama, « après un prologue décevant, le remake décolle vraiment au premier meurtre, lorsque les quatre ados (restants) prennent conscience de leur devenir viande. Séquence introductive et suicide de l’auto-stoppeuse, Course-poursuite jusqu'à l'abattoir et dénouement final, La dernière survivante : le passage à l'âge adulte, « Nous ne voulons pas faire beaucoup de films, pas plus de deux par an ... ces petits métrages ont beaucoup de potentiel au niveau du profit. Après avoir vu son travail sur Pearl Harbor, notamment dans les effets maquillage, Michael Bay propose à Scott Stoddard de réaliser les truquages du film et le masque de Leatherface[5]. En 2020, Le site GamesRadar+ place Massacre à la tronçonneuse à la 16e place des 25 meilleurs remakes de films d'horreur[88]. Un album, composé de musiques destinées aux fans de heavy metal, sort sous le label Bulletproof le 4 novembre 2003[29]. Le but de Marcus Nispel est faire ressentir la perte du personnage aux spectateurs[5]. La campagne de promotion est réalisée de sorte à présenter le film comme plus terrifiant qu'un simple slasher[5]. On l'oublie parfois, mais Massacre à la tronçonneuse est également tiré d'une histoire vraie. La véritable histoire de massacre à la tronçonneuse. En plein milieu de l'audition, Marcus Nispel demande à Leerhsen de crier le plus fort possible[5]. Massacre à la tronçonneuse version 2003 est cité comme l'un des 30 slashers les plus influents de tous les temps par Meagan Navarro du site New York le 30 novembre 2018. La production est impressionnée par le travail de l'artiste, argumentant qu'ils n'avaient rien vu de meilleur jusqu'alors[5]. Au lieu de cela, et malgré une Erin en pleurs, effrayée et traumatisée à la suite d'une course poursuite avec Thomas, Henrietta et la dame restent totalement calmes et lui offrent une tasse de thé[83]. En filmant de l'autre côté, le jet d'air n'est alors pas visible[5]. Puis, la jeune femme trouve refuge dans l'abattoir de la ville où elle se cache dans un casier. » Maitland McDonagh de TV Guide accorde une mauvaise note, 1 sur 5, arguant qu'il s'agit d'un film « si totalement dépourvu d'imagination, qu'il ne compte même pas comme un hommage mais comme une copie ratée d'un film original encore aujourd'hui effrayant[56]. Kosar insiste aussi sur la psychologie du tueur et de ses complices pour, en quelque sorte, les humaniser. Ce dernier est jugé comme étant « terrifiant » par Andrew Bryniarski[5]. Au sujet du jeune Jedidiah, Nispel présume qu'il s'agit d'un personnage qui oscille entre deux choix : devenir mauvais comme le reste de sa famille ou l'espoir d'un avenir meilleur[5]. Également, dans le but d'obtenir un film d'une durée raisonnable, plusieurs passages sont supprimés du montage final comme une version du film où Erin, de nos jours, relate la terrible histoire de 1973 dans un hôpital psychiatrique[21]. massacre à la tronçonneuse histoire vraie; meilleur film basé sur histoire vrai; mel brooks la folle histoire de l'espace; miley cyrus et liam hemsworth histoire; mois de l'histoire des noirs; mon histoire c'est l'histoire d'un amour partition; mosquée hassan 2 histoire des arts; D'après une histoire vraie Massacre à la tronçonneuse est inspiré de faits réels.
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