inde et pakistan histoire

En 1995, une quarantaine d'officiers sont arrêtés, accusés de préparer une révolution islamique. carte, p.82). L'IJI dispose d'une légère majorité absolue à l'Assemblée nationale et bénéficie à la fois du soutien des militaires et du président Ghulam Ishaq Khan. Comme la langue, la présence de ces groupes dans les deux pays est en partie dû à une Histoire commune. Le différend concernant le Cachemire oppose l'Inde et le Pakistan depuis la partition. Cependant, l'accord stipule que la présence de membre de l'ONU resterait effective sur les sites jugés nécessaires[66]. Passé au Sénat le 14 novembre 1985, le 8e amendement à la Constitution de 1973 donne en effet au président le droit de nommer et démettre le Premier ministre et hauts postes, peut demander au Premier ministre d'obtenir un vote de confiance de l'Assemblée nationale et dissoudre cette dernière. En décembre 2003, Pervez Musharraf se déclare prêt à abandonner provisoirement une des plus anciennes revendications pakistanaises, la tenue d'un référendum au Cachemire, si cet abandon est de nature à favoriser un règlement pacifique du conflit. Le mahârâja décide, le 26 octobre 1947, de se rattacher à l'Inde alors que 78 % de ses sujets sont musulmans. Pour preuve, les forces militaires pakistanaises ont rapporté de nombreuses fois le non-respect du cessez-le-feu de la part des forces indiennes alors que ces dernières n'ont déposé aucune plainte[66]. La concentration des pouvoirs va de pair avec une forte centralisation de l'État. En 1984, Zia lance un référendum national sur la question de l'islamisation du pays en posant une question juridiquement complexe : elle revient en fait à demander s'il est souhaitable que le Pakistan soit un État islamique, et en cas de vote affirmatif placerait Zia en position de président de la République du Pakistan pour 5 ans. L'histoire de cet Etat, dont les racines remonteraient à la civilisation de l'Indus, a été marquée par quatre coups d'Etat mi Le pakistan livre pas cher - Christophe Jaffrelot - inde, pakistan et bangladesh - Gibert Toutefois, les déplacements des équipes ne se déroulent pas toujours dans de bonnes conditions, en 1997, l'équipe indienne reçut des jets de pierres lors de ses trois matchs au Pakistan alors que ce sont des jets de têtes de porcs que reçurent l'équipe du Pakistan lors de sa tournée en 1999 sur le territoire indien. 46 membres de la Réserve centrale des forces de police et le terroriste sont tués dans l'attaque. Des contestations territoriales se sont manifestées dès l'indépendance des deux pays, notamment dans le Cachemire et le Junagadh. La situation mène à une nouvelle crise démographique régionale avec d'une part la demande de Dacca faite à Islamabad d'accueillir les non-bangladais (de 260 000 à 660 000 personnes) et d'autre part le refus du Pakistan de laisser les bengalis installés sur son territoire (estimés à 300 000) partir au Bangladesh[41],[43],[44]. En réponse à cette répression, les partisans du rattachement au Pakistan demandent de l'aide aux forces armées pakistanaises qui prennent la direction de la capitale, Srinagar[27]. La première période (1962-1988) peut-être perçu comme une adaptation des deux pays à un contexte international et régional dangereux tandis que la seconde période répond à une recrudescence du nationalisme et une cristallisation du conflit (1989-1998)[28]. Reliant les deux Punjab, la ligne fut interrompue le 1er janvier 2002 à la suite de l'attentat du parlement indien fin 2001. Ce retour du PPP au premier rang est encore renforcé par l'élection de Farooq Leghari, proche de Bhutto, au poste de président. Dans de telles circonstances, est-il possible que deux nations — les mahométans et les hindous — pourraient s’asseoir sur un même trône et rester égaux? Celui-ci est démis de ses fonctions par le président Ghulam Ishaq Khan en avril 1993 pour mauvaise administration, corruption et népotisme. Les militaires hésitent à soutenir un régime qui a toute l'apparence de la corruption et de l'inefficacité. En 1978, il met en place les ordonnances Hudood qui islamisent le droit pénal : interdiction des relations hors mariages et adultères, mise en place de des flagellations, amputations ou lapidations[19]. Le 20 septembre 2008 un camion bourré d'explosifs fonce sur l'hôtel Marriott d'Islamabad, un des plus luxueux de la ville, et fait au moins 60 morts. L'Inde et le Pakistan partagent des langues en grande partie issues des langues indo-européennes et indo-aryennes. Le président Ayub Khan démissionne en mars 1969 sous la pression d'un mouvement populaire entamé l'année précédente. History Studies—International Journal of History, Turkey; IOSR Journal Of Humanities And Social Science (IOSR-JHSS) Volume 19, Issue 4, Ver. La question communautaire ne sera d'ailleurs pas réglée par ces exodes, un tiers des musulmans continuant à vivre en Inde. Un accord signé à Shimla en juillet 1972 permettra d'apaiser les tensions. Il s'agit pour l'Inde de terminer la partition enclenchée en 1947[136]. Un risque de conflit ouvert — premier depuis le conflit frontalier sino-soviétique de 1969 à opposer deux puissances nucléaires — dégrade les relations entre les deux nations. Le Tariqa-i Muhammadi, initié par Sayyid Ahmad Barelwi avec le soutien du wahhabite Shah Waliullah[7], fut une révolte menée en 1831[7] sous forme de « guerre sainte Â» en vue de rassembler tous les musulmans d'Inde contre les Anglais et les hindous pour établir un ordre religieux au nord-ouest de l'Inde[6]. La coalition gouvernementale ne parvient cependant pas à concilier les objectifs contradictoires des partis qui la composent, des accusations de corruption sont lancées contre le Premier ministre Nawaz Sharif. Les augmentations à venir devraient être tout aussi colossales. Cependant, le nombre de biens continue de s'agrandir au fil des années pour atteindre le nombre de 767 en 2004[100],[102]. En effet, la création d'un lobby indo-pakistanais constitué de diplomates et parrainé par des acteurs économiques privés pour l'organisation de la coupe du monde de cricket est un succès pour aboutir à la coupe de 1987 qui est la première à être organisée hors de l'Angleterre[138]. Le Raj britannique est une colonie britannique regroupant la région du sous-continent indien de 1858 à 1947 administrée de manière directe ou indirecte (pouvoir cédé à des maharadjah ou des nawab dans des États princiers) par Londres au moyen d'un gouverneur général des Indes. C'est le président de cette dernière organisation, Eugene Black, qui pris cause pour cette initiative qui déboucha sur l'Indus Water Treaty en 1960[58],[55]. Depuis sa fondation, le pays a connu surtout une instabilité politique récurrente, à quoi s'ajoute une forte influence de l'armée. Après une série de crises politiques, Bhutto est à nouveau limogée en 1996 : le président Leghari lui reproche des faits de corruption et une mauvaise gestion économique. Cette présence provoque des tensions de la part du Pakistan ou encore des États-Unis — présent dans la région dans le contexte de la guerre contre le terrorisme[47],[49],[48]. Inde et Pakistan accèdent à l’indépendance en août 1947. Pendant ses deux mandats, l'administration Bush se concentre davantage sur la guerre d'Irak que sur la guerre d'Afghanistan, en ne coordonnant pas les acteurs majeurs pour la stabilité de la région dont la Chine, la Russie, l'Iran et l'Inde[71]. Muhammad Ali Jinnah, appelé Qaid-i-Azam (« Le Grand Meneur »), devient Gouverneur général du nouvel État, son Premier ministre est Liaquat Ali Khan. II (Apr. Le mécanisme est donc proche d'un véritable plébiscite. C’est la première fois, depuis la fin de la guerre froide, qu’un coup d’État militaire se produit dans un pays en possession d’armes nucléaires. Des milliers de soldats sont mobilisés après cet événement de part et d'autre de la Ligne de contrôle[46]. Cette prise de position de l'Inde vis-à-vis est une première et change la politique extérieure du pays qui ne comprenait en aucun cas des mesures pouvant provoquer une déstabilisation de l'unité du Pakistan[38]. Après une guerre de quinze jours, qui est la troisième guerre indo-pakistanaise entre les deux pays, les troupes pakistanaises se rendent le 16 décembre 1971 et un cessez-le-feu est décrété sur tous les fronts. Conformément à la Constitution, le président du Sénat, Ghulam Ishaq Khan, est investi des pouvoirs par intérim et confirme la tenue des élections prévues pour novembre 1988. En 2010, le Pakistan saisit la cour permanente d'arbitrage de La Haye concernant le complexe hydroélectrique indien sur la rivière Neelum présentant un potentiel risque d'insuffisance hydrique pour le Pakistan. Un traité de réouverture du marché est conclu entre Islamabad et New Delhi, qui considèrent la reprise économique prioritaire à une reprise de la diplomatie[99]. À la suite de la loi sur l'indépendance indienne de 1947, les principautés composant le territoire de l'Inde et du Pakistan sont alors libres de rejoindre le dominion de leur choix[16]. La première, le Thar Express, part de Karachi pour Jodhpur en passant par la jonction commençant par la ville de Khokhrapar et s'arrête par le Zero Point — station créée pour exercer les mesures douanières sur les passagers — avant de continuer vers la ville indienne de Munabao — constituant un autre point de douane — pour se diriger vers le terminus[119]. La fonction de président devient purement honorifique, l'essentiel des pouvoirs repose entre les mains du Premier ministre. En 1973, une nouvelle Constitution est adoptée, de type fédéral. L'Inde en profite pour supporter la Ligue Awami du Pakistan oriental, portail du nationalisme bengali, installant alors les conditions propices à de nouveaux désordres dans la région[33]. Le terme « Afpak Â», diminutif d'Afghanistan-Pakistan et « Pakin Â», diminutif de Pakistan-Inde est pris en compte à partir de l'administration Obama[72]. L'Inde et le Pakistan sont deux pays de l'Asie du Sud, situé entre les 95e et 61e méridiens et font partie des fuseaux horaires UTC+5:30 et UTC+5. Les tensions sur la question afghane s'accumulent entre le président Zia et le Premier ministre Junejo. La période coloniale britannique, l'Empire britannique des Indes comprenant alors le Bangladesh et le Pakistan actuels, Depuis l'indépendance de l'Inde. Les compagnies de rails remettent en service le trafic entre les deux pays, Un traité d'échange entre les deux pays est signé Ã, Les films indiens ne peuvent plus être vendus sur le territoire du Pakistan de l'ouest, Les entreprises privées peuvent désormais importer cette liste de produits. Sharif met en œuvre un programme de privatisation, de dérégulation et d'encouragement au secteur privé et à l'investissement étranger pour stimuler la croissance. Cette majorité est cependant puissamment combattue par le parti de Nawaz Sharif - qui lance plusieurs grèves générales dans le pays - et rapidement discréditée par une administration provinciale incertaine. Un nouveau conflit avec l'Inde au sujet du Cachemire éclate à l'été 1999. Il est d'autant plus important que ce différend implique autant l'ethnie locale, les cachemiris, mais aussi la communauté internationale avec la Chine, les États-Unis et les Nations unies. À la suite de la guerre sino-indienne de 1962, l'Inde change de stratégie en voulant se doter d'une arme pouvant contrer la menace chinoise — pays alors munit de l'arsenal nucléaire. Il permet de renouer des liens lorsque les discussions diplomatiques sont rompues comme en 1978 et 1999[138]. Les différents partis se rejettent la faute sur la situation comme le confirme les propos des ambassadeurs d'Islamabad et de Dacca à Paris[41],[44]. En outre, comme il a été dit plus haut, la course à l'armement nucléaire s'explique essentiellement par l'existence de ce différend : moyen de dissuasion permettant à chaque pays d'adopter une posture arrogante, l'arme nucléaire constitue aussi une menace majeure pour l'ensemble du sous-continent et l'équilibre mondial. Le Pakistan n'accepte pas cette décision qui marque le début d'un enchaînement de conflits indo-pakistanais alors que l'Inde occupe les deux-tiers du Cachemire. Aux élections législatives de 1977, les secondes de l'histoire du Pakistan, le PPP l'emporte cependant largement, avec 150 sièges sur 200. Le second point de passage est situé dans le Jammu-et-Cachemire entre Srinagar et Muzaffarabad via le Friendship bridge[115],[116]. Cette dernière, considérant que le dispositif militaire pakistanais au Cachemire pourrait être utile dans la lutte contre le terrorisme — notamment dans les territoires du Nord â€” aident militairement le Pakistan mais aussi financièrement pour la stabilisation du pays[71]. Les relations commerciales reprennent en 2011 avec l'attribution du provisoire du statut de MFN à l'Inde par le gouvernement de Youssouf Raza Gilani[109]. Pour Barbara Ward et Khursheed Kamal Aziz, tout en étant un acteur majeur du départ des britanniques, avec la personnalité de Gandhi en tête, le congrès national indien est aussi à l'origine du nationalisme musulman et de la création d'une république islamique dans le sous-continent indien[9]. En effet, de son côté, le Pakistan, qui vient de subir une défaite importante lors de la troisième guerre indo-pakistanaise souhaite se défendre face à l'adversaire indien, le test nucléaire de son voisin le motive d'autant plus dans cette voie — le pays sera alors aidé par la Chine, la Corée du Nord et les États-Unis[77]. Le Pakistan est régulièrement l'objet d'attentats attribués aux islamistes : l'armée et la police sont la cible d'attaques dans le nord-ouest, près de la frontière avec l'Afghanistan. Alors que les deux derniers s'opposent à une séparation qui pourrait affaiblir un futur état face aux voisins russe et chinois après une indépendance, la ligue musulmane milite pour un état musulman faisant fi des barrières culturelles et linguistiques[13]. En dépit d'efforts sensibles, Junejo ne parvient pas à réformer la conduite de l'État compte tenu de l'emprise de Zia dont il tente vainement de se détacher. L'opposition conteste violemment ces résultats et dénonce des fraudes massives et des pressions. Les principaux griefs entre les deux pays se situent dans la région du Cachemire, où les réclamations territoriales ont provoqué les guerres de 1947, 1965 et une confrontation directe lors de la guerre de 1971 et plus récemment lors du conflit de Kargil en 2001. mettant alors en place une mission onusienne dès 1948[66]. Le Hindoustani est une base linguistique pour les deux pays, cette langue se différencie par son écriture tantôt dérivée de l'alphabet sanskrit et arabe. Parallèlement à l'action gouvernementale de modernisation de l'économie, le Parlement approuve en mai 1991 un projet de loi renforçant le statut de la charia (šarīʿaʰ, charî‘a شَرِيعَة) dans le pays. Une réforme constitutionnelle est votée en avril 2010 et rend au Premier ministre la plus importante part du pouvoir exécutif, rétablissant l'équilibre institutionnel prévu en 1973. Alors que l'Inde utilise l'. Les deux pays sont interdépendants dans le domaine énergétique, que ce soit avec le traité de l'Indus ou avec le projet de pipeline reliant l'Iran à l'Inde. De plus, le président afghan Hamid Karzai, ayant fait ses études en Inde est plus proche de New Delhi, qui investit 1 200 000 000 USD et use de son Soft power pour se rapprocher d'un partenaire pouvant lui offrir un accès à des pays d'Asie centrale tel que le Kazakhstan ou le Turkménistan[50],[47]. Ces initiatives de Zia en faveur d'une islamisation du pays ont un impact à long terme. République islamique, le Pakistan est en effet profondément partagé entre son attachement à l'Islam et sa tolérance vis-à-vis du fondamentalisme islamique d'une part, et les nécessités économiques et financières qui le conduisent à se présenter en allié fidèle des États-Unis et à participer à la traque des dirigeants d'Al-Qaida et des terroristes sur son territoire. Les deux pays ont accédé à leurs indépendances du Royaume-Uni le 15 août 1947 provoquant la fin de la colonie britannique des Indes et un flux de population les plus intenses du XXe siècle. Parallèlement la constitution d'un axe Chine-Pakistan inquiète et Moscou et Washington. Les manifestations anti-musulmanes portées par les hindous telles que le festival en l'honneur de Shivaji ou encore l'utilisation du chant Vande mataram, que le parti d'Ali Jinnah condamna[11] montrent les divisions irréversibles entre les deux groupes[6], même après un hypothétique départ des Anglais comme le montre Syed Ahmad Khan : .mw-parser-output .container{display:flex;flex-wrap:wrap;margin:1em 40px;overflow:hidden;justify-content:space-between}@media(max-width:768px){.mw-parser-output .item{flex-grow:1;flex-shrink:1;flex-basis:auto}}@media(min-width:769px){.mw-parser-output .item{flex-basis:45%}}.mw-parser-output .blockquote{margin:0}.mw-parser-output .author{margin:-0.5em 0 1em 60px}. Une ligne maritime est active entre Karachi et Mumbai, cependant, elle inclut une troisième étape parfois informelle qui est le port de Dubaï en ce qui concerne les transports de marchandises[126]. Zia profite de ces bonnes relations pour continuer le programme nucléaire pakistanais initié sous Bhutto. Malgré les tensions politiques, les deux pays partagent une histoire commune et présentent des similitudes culturelles, notamment linguistiques, ethniques et religieuses. Boycott de la part d'hommes d'affaires concernant le. Le 17 août 1947, le nawab de la province de Junagadh - dans l'actuel Gujarat - annonce son rattachement au Pakistan, qui affirmera cette décision le 13 septembre 1947[23]. Le conflit Inde-Pakistan expliqué par les cartes. Le quartier général de la mission se situe de mai à octobre à Srinagar et de novembre à avril à Islamabad. Cette coupure provoqua une politique de rationnement dans les principales villes pakistanaise et toucha 8 % des champs cultivés[57]. Dès 1948, l'utilisation du nucléaire par l'Inde est une option pour le premier ministre qui lance le programme civil nucléaire[76]. Elle s'exprime dans ce qui sera appelée la résolution de Lahore. L'Inde y renonça tout comme la proposition de la part des Nations-Unies en 1974 (vote de 82 pour et 2 contre dont le Bhoutan)[79]. Les relations commerciales entre Karachi et New Delhi sont supérieures à 2,3 milliards de dollars depuis 2012[111]. En 1974, le test prétendu pacifique nommée Smilling Buddah dans le Désert du Thar annonce en réalité le début de la course à l'armement dans le sous-continent indien[28]. Il est alors constitué de deux parties, communément appelées Pakistan occidental et Pakistan oriental, séparées entre elles par quelque 1700 kilomètres de territoire indien. L'Inde dépasserait la Chine en 2045 avec 1,5 milliard d'habitants. Le 15 août 1947, l'indépendance de l'Inde s'accompagne de la sécession du Pakistan, lui-même divisé en deux parties séparées par 1 500 km (dont le futur Bangladesh). Récit historique en vidéo. Le nationalisme hindou et musulman prend ses racines au XIXe siècle dans un mouvement de différenciation en vue de l'indépendance[6]. De plus, l'arabe et les études islamiques deviennent des matières obligatoires dans la plupart des enseignements supérieurs. Sur le plan international, l'Inde procède à cinq explosions nucléaires souterraines en mai 1998 qui provoque en réponse une série de tests nucléaires au Pakistan, dans le Baloutchistan. Dans un premier temps, les élites muhadjire et bengalie sont bien placées au sein des institutions grâce à leur contribution à la création du pays. Plus connue sous le nom de partition des Indes, cette séparation est marquée par des violences inter-ethniques et des désaccords territoriaux dans les territoires des États princiers du Junagadh et du Cachemire. Wagah, poste frontière entre l' Inde et le Pakistan. Le 17e amendement à Constitution renforce considérablement les pouvoirs du président au détriment du Premier ministre et interdit à tout Premier ministre de réaliser plus de deux mandats, même non consécutif, empêchant tout retour de Nawaz Sharif et Benazir Bhutto. Le statut de MFN est de nouveau accordé à l'Inde en 2012 par Karachi[109]. Le désaccord sur la région du Cachemire provoque la première guerre indo-pakistanaise. Le Pakistan a gardé une balance commerciale positive jusqu'à l'exercice 1956-1957[91]. L'arbitre suisse Raymond Laffite autorise l'Inde à construire le barrage en février 2007 à condition de baisser la hauteur du barrage de 1,5 mètre[59]. L'importance des routes est à noter dans le commerce entre les deux nations, ce sujet fera l'objet d'une autre sous-partie. L'état a aussi petit à petit abandonné sa mainmise sur l'éducation au profit d'écoles coraniques privées dont de nombreuses enseignent aux plus jeunes les bases du fondamentalisme. La guerre civile éclate : 10 millions de réfugiés se précipitent en Inde, des centaines de milliers de civils sont tués et les militaires sont accusés de nombreuses atrocités. L'Inde a également promis une aide de 25 millions de dollars au Pakistan. La rivalité entre les deux nations doit être prise en compte à travers plusieurs grilles de lectures. En 1959, l'opinion pakistanaise percevait la Chine comme la principale menace pouvant l'affecter, cette crainte se détourna progressivement vers l'URSS puis, dès 1962, uniquement vers l'Inde[31]. Les conséquences de la guerre ont entraîné les deux pays à soutenir l'État sri-lankais de façon directe et indirecte pour l'Inde et le Pakistan avec des approvisionnements en armes[51],[52]. Le Pakistan devient alors la première république islamique au monde et Mirza est élu président à titre provisoire. Le soutien du Pakistan aux taliban pakistanais depuis 1979 et la guerre d'Afghanistan jusqu'au positionnement dans la guerre contre le terrorisme. Les autres langues parlées des deux cotées de la frontières : Les deux pays s'étant séparés avec des frontières prenant en compte les dimensions religieuses, elles ne sont pas homogènes dans ces domaines. Le Pakistan a annoncé le 23 novembre 2003 un cessez-le-feu unilatéral sur la ligne de contrôle (LOC), immédiatement accepté par l'Inde. Humiliée, l'armée cède le pouvoir à Zulfikar Ali Bhutto en décembre 1971. D'emblée, le pays souffre d'instabilité sur le plan politique et est confronté à de grandes difficultés économiques. Les 17 et 27 juillet 2007, deux attentats-suicide à Islamabad ont fait 27 morts au total. Dans un article du Monde diplomatique en juin 1973, Sahabzada Yaqub Khan, l'ambassadeur du Pakistan à Paris, condamne les mesures prises par Dacca et New Delhi concernant le sort des 90 000 prisonniers pakistanais — militaires et civils[41]. La seconde phase s'ouvre avec des conditions différentes, il n'y a plus d'enclave pakistanaise au sein du territoire indien avec l'indépendance en 1971 du Bangladesh. L'arrivée au pouvoir du Bharatiya Janata Party, menant une politique nationaliste, en Inde en 1998 va changer la situation et augmenter les tensions dans le sous-continent indien. Aucun recours n'a été saisi par l'Inde comme le permet les conditions du traité, signifiant une volonté de perpétuer l'accord bilatéral[56]. Face à l'impossibilité de réduire l'agitation au Pakistan oriental, le président Mirza se tourne vers le général Muhammad Ayub Khan, commandant en chef des forces armées. Selon Ijaz Nabi, professeur d'économie à la Lahore University of Management Sciences, le premier différend entre les deux nations fut la dévaluation de la roupie indienne en 1949[90]. Ce traité, assurant une coopération non politique nécessaire entre les deux pays assura le contrôle des flux hydriques à l'est pour l'Inde (Beas, Sutlej et Ravi) et à l'ouest pour le Pakistan (Jhelum en grande partie, Chenab et l'Indus)[56]. Il s'agit donc, par le biais de matchs indo-pakistanais, de catalyser les crises diplomatiques avec une participation non-négligeable d'acteurs privés[138]. En 1971, le Pakistan se trouve réduit à sa partie occidentale au terme de la guerre d'indépendance du Bangladesh. L'histoire de l'Inde est particulièrement riche et se divise en trois grandes ères: Des origines à l'Empire moghol, dominant jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. Le Parti du peuple pakistanais remporte les élections de novembre 1988, sans bénéficier cependant d'une majorité absolue. Lors de l'exercice 2012-2013, le commerce informel est estimé à 3,9 milliards de dollars concernant principalement des bijoux, du textile ainsi que des pièces de robotique[111]. VIDÉO - L'Inde a assuré avoir mené un raid mardi contre un camp d'entraînement du groupe islamiste Jaish-e-Mohammed, au Pakistan. It is necessary that one of them should conquer the other and thrust it down[12]. Le 12 octobre 1999, après que Sharif tenta de limoger le général Pervez Musharraf, chef d'état-major des armées, un coup d'État militaire mené par ce dernier chasse le Premier ministre et suspend la Constitution : le terme loi martiale n'est pas employé mais c'est bien une nouvelle période de domination militaire qui commence. La coalition gouvernementale se délite, les petits partis votent une motion de défiance, et un conflit éclate entre le président Ghulam Ishaq Khan et son Premier ministre au sujet des nominations des militaires de haut rang et des hauts magistrats. La même année, de nombreux incidents entre musulmans, sikhs et hindous ont lieu, notamment lors des émeutes de Noakhali[14] ou encore le grand massacre de Calcutta[15]. Toutefois, la démise du Premier ministre Nazimuddin par Ghulam Muhammad en 1953 constitue un tournant marquant l’avènement des Pendjabis[1]. La coupure entre le Pakistan occidental et oriental crée des difficultés de livraisons entre les deux parties de la République Islamique, impliquant des condamnations envers les libertés de transits à travers l'Inde[93]. Les deux pays s'engagent alors sur une période de trois ans à ce que le marché indo-pakistanais représente 6 milliards de dollars[101]. ». Certaines provinces, comme le Pendjab et le Bengale, sont divisées en deux. Ce n'est qu'à partir du milieu des années 1980 que le cricket prend une forme de medium diplomatique. De son côté, le Pakistan considère que la population à très forte majorité musulmane lui donne une légitimité naturelle sur ce territoire. De plus, la même année, des nationalistes hindous menace de lancer des cobras dans les vestiaires pakistanaises, ce qui eut pour conséquences le recrutement de charmeurs de serpents pour contrer de telles menaces[138]. Il s'ensuit une longue période où les armes nucléaires ne sont pas utilisées, d'une part par l'Inde où l'armée n'est pas impliquée étant donné que le test de 1974 fut conduit par les chercheurs du Centre de recherche atomique de Bhabha (BARC)[80] contrairement au Pakistan qui acquit l'arme nucléaire en 1987 sous un régime militaire selon un rapport de la CIA[77]. De plus, aucun jugement n'est possible de la part du Bangladesh à propos des exactions commises lors de la guerre de libération, qui se trouvait être un territoire pakistanais[41]. Le général fait référence à Shoaib Akhtar et Sachin Tendulkar, deux joueurs de l'équipe indienne et pakistanaise mais faisant pas penser aux arsenaux nucléaires des deux pays[138]. Déjà à cette époque, le refus des musulmans à intégrer le congrès, comme Syed Ahmad Khan voyant un « pseudo mouvement nationaliste Â»[9]. Un important train de réformes est engagé : réforme agraire qui redistribue 20 % des terres, plan quinquennal de développement économique, restrictions sur la polygamie[6], et en 1962, une nouvelle Constitution qui institue un régime présidentiel et un suffrage indirect[7]. Le parti de Nawaz Sharif remporte largement les élections législatives de février 1997, il obtient une majorité des deux-tiers à l'Assemblée nationale. Les élections d'octobre 2002 sont un succès relatif pour le parti soutenant Pervez Musharraf, la Ligue musulmane du Pakistan (Q), constituée de beaucoup de membres ayant quitté le parti de Nawaz Sharif. D'un autre côté, l'expression des droits politiques est progressivement restreinte. Le bras de fer militaire de 2019 entre l'Inde et le Pakistan commence6 à la mi-février 2019, lorsqu'un convoi de la Réserve centrale des forces de police indienne (en), transportant du personnel de sécurité sur la route nationale de Jammu Srinagar, subit une attaque kamikaze avec un véhicule piégé, à Lethpora (près d'Awantipora) dans le district de Pulwama, Jammu-et-Cachemire, en Inde. Une campagne de dénigrement est lancée contre les opposants au régime, la presse est muselée, des journalistes réputés sont arrêtés et battus. Semblable en de nombreux points à la diplomatie du ping-pong entre la Chine et les États-Unis, la « diplomatie du cricket Â» a pour objectif de catalyser les tensions et de participer à la cohésion des deux peuples[138]. Des manifestations et des émeutes conduisent à plus de 200 morts et des milliers d'arrestations[16]. Après sa partition récente, le territoire de l'ancienne colonie britannique comprend toujours des similitudes culturelles par le fait d'une Histoire commune. Il se voit imposer la loi martiale et est occupé par l'armée pakistanaise. L'Inde et le Pakistan font partie de l'Association sud-asiatique pour la coopération régionale (SAARC)[84] et de diverses autres organismes à échelle internationale comme la Banque mondiale[85] ou encore l'Organisation internationale du travail[86]. Le Pakistan démarre sa vie nationale sans fonctionnaires qualifiés et sans infrastructure administrative dans la capitale improvisée de Karachi.

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